En Mauritanie, un cas de corruption policière met à mal la coopération antimigratoire avec l’Union européenne [Le Monde]
Au moins onze agents de police et deux passeurs sont accusés d’avoir accepté des pots-de-vin de migrants d’Afrique subsaharienne en échange de leur libération. Le chef de l’office de lutte contre la migration et la traite des personnes a été licencié.