Le premier ministre nippon, Shigeru Ishiba, a essuyé un revers lors des élections législatives qu’il a provoquées, dimanche 27 octobre. Une déroute liée entre autres à la poussée des prix, notamment des fameux ramens, après trois décennies de déflation. Un changement d’ère qui pourrait toutefois avoir du bon, note Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».

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