Après le Tribunal administratif, c'est la Cour administrative d'appel de Ouagadougou qui ordonne la libération de Me Guy Hervé Kam. L'État représenté par l'Agence judiciaire de l'État ( AJE) avait fait appel de la décision du juge des référés en estimant que le Tribunal administratif n'est pas compétent pour connaître de cette affaire qui est « d'ordre pénal ».