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Le trafic des piétons et des automobilistes s'écoule sans accroc mardi aux postes-frontières des enclaves espagnoles de Ceuta et Melilla avec le Maroc, après leur réouverture sur fond de réconciliation entre les deux pays.Sous un ciel lumineux, une trentaine de taxis, parqués non loin du point de passage marocain de Fnideq, attendent patiemment l'arrivée des piétons sortant au compte-gouttes de la ville autonome espagnole de Ceuta, a constaté un journaliste de l'AFP.
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Le chef du gouvernement libyen soutenu par le maréchal Khalifa Haftar s'est retiré mardi de la capitale Tripoli après avoir tenté de déloger l'exécutif rival en place, au prix de plusieurs heures de combats entre groupes armés.Ces affrontements sont d'une ampleur sans précédent à Tripoli depuis l'échec en juin 2020 de la tentative de M.
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C'est l'un des plus gros sites de production de thérapie génique en Europe: dans les locaux d'Yposkesi, dans l'Essonne, les traitements du
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Elles sont épuisées et démoralisées, après des années de travail acharné pour de maigres salaires dans des hôpitaux démunis: au Zimbabwe, Virginia,
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Le président somalien Hassan Cheikh Mohamoud, revenu au pouvoir dimanche, est un ancien universitaire et militant pour la paix, dont le premier mandat a été entaché d'accusations de corruption et marqué par des luttes intestines.Né en 1955, Hassan Cheikh Mohamoud est le premier chef d'Etat somalien à être réélu pour un deuxième mandat, en promettant de transformer cet Etat instable, secoué par une longue crise politique, en "pays pacifique, en paix avec le monde".Virulent critique du chef de l'Etat sortant Mohamed Abdullahi Mohamed, dit Farmajo, il a adopté dès son investiture un ton plus consensuel, saluant notamment la transition pacifique avec son prédécesseur.
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La communauté internationale a salué lundi l'élection d'Hassan Cheikh Mohamoud à la tête de la Somalie, l'appelant à prendre en main les problèmes de ce pays pauvre et instable de la Corne de l'Afrique, paralysé depuis plus d'un an par une profonde crise politique.Hassan Cheikh Mohamoud, 66 ans, déjà président entre 2012 et 2017, a été élu dimanche par les parlementaires somaliens, face au chef de l'Etat sortant Mohamed Abdullahi Mohamed, dit Farmajo.Cette élection, qui devait initialement se tenir au plus tard en février 2021, met fin à plus d'un an d'atermoiements et de crise politique autour de l'organisation du scrutin dans ce pays meurtri par l'insurrection des islamistes radicaux shebab et menacé par la famine après une sécheresse d'une ampleur historique.Depuis plus d'un an, les partenaires internationaux de la Somalie n'avaient eu de cesse d'appeler les autorités à conclure le processus électoral pour se concentrer sur ces priorités.Lundi matin, la ministre britannique en charge de l'Afrique, Vicky Ford, a félicité sur Twitter le président élu et s'est dit prête à continuer à aider la Somalie "dans le renforcement de sa stabilité, la lutte contre les shebab et le soutien aux personnes touchées par la sécheresse dévastatrice".Le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed s'est dit impatient de travailler en étroite collaboration avec son voisin "sur les intérêts bilatéraux et régionaux communs.
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Le port du masque n'est plus obligatoire à partir de lundi dans les transports en France, un allègement qui marque la disparition
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Cinq ans après, il revient au pouvoir: la Somalie a élu dimanche pour la seconde fois Hassan Cheikh Mohamoud à sa présidence, à l'issue d'un scrutin sous haute sécurité, dans un pays en proie à l'insurrection des islamistes radicaux shebab et où la famine menace.A l'issue d'un vote marathon, Hassan Cheikh Mohamoud, président entre 2012 et 2017, s'est imposé face au chef de l'Etat sortant Mohamed Abdullahi Mohamed, dit Farmajo, qui l'avait battu il y a cinq ans.
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Le chef de l'Etat somalien sortant affronte son prédécesseur pour le poste suprême lors du scrutin présidentiel organisé dimanche sous haute sécurité à Mogadiscio, capitale d'un pays en proie à l'insurrection des islamistes radicaux shebab.Le vote, qui se poursuivait dans la soirée, a lieu après plus d'un an de retard dans ce pays instable de la Corne de l'Afrique secoué par une longue crise politique, qui souffre aussi d'une sécheresse historique menaçant de provoquer une famine.Des explosions ont été entendues près de l'aéroport alors que le vote commençait, rappelant combien la situation sécuritaire reste précaire dans le pays.
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Le chef de l'Etat somalien sortant figure parmi les quatre candidats qualifiés pour le second tour de la présidentielle lors de ce scrutin organisé dimanche sous haute sécurité à Mogadiscio, capitale d'un pays en proie à l'insurrection des islamistes radicaux shebab.Le vote, qui se poursuivait dans la soirée, a eu lieu après plus d'un an de retard dans ce pays instable de la Corne de l'Afrique secoué par une longue crise politique, qui souffre aussi d'une sécheresse historique menaçant de provoquer une famine.Les députés et sénateurs ont voté dimanche pour désigner le prochain président du pays parmi 36 candidats, sous une tente dressée dans le périmètre de l'aéroport de Mogadiscio, placée sous couvre-feu, où les forces de sécurité sont omniprésentes.Des explosions ont été entendues près de l'aéroport alors que le vote commençait, rappelant combien la situation sécuritaire reste précaire dans le pays.
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Les législateurs somaliens ont commencé dimanche à voter pour désigner le prochain président du pays parmi 36 candidats, dans un lieu sous haute sécurité de Mogadiscio, capitale d'un pays confronté à l'insurrection des islamistes radicaux shebab.Le scrutin a déjà pris plus d'un an de retard dans ce pays instable de la Corne de l'Afrique, qui souffre aussi d'une sécheresse historique qui pourrait provoquer une famine.
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Les législateurs somaliens chargés dimanche de désigner le prochain président du pays parmi 35 candidats se sont rassemblés sous haute sécurité à Mogadiscio, capitale d'un pays confronté à l'insurrection des islamistes radicaux shebab.Le scrutin a déjà pris plus d'un an de retard dans ce pays instable de la Corne de l'Afrique, qui souffre aussi d'une sécheresse historique qui pourrait provoquer une famine.
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Le Rwanda a supprimé l'obligation du port du masque dans l'espace public alors que le pays est en train d'assouplir ses mesures
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Le groupe français Sanofi a été condamné jeudi par le tribunal de Nanterre à indemniser à hauteur de 450.000 euros une famille
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Artiste "écolo et engagé", l'Ivoirien Désiré Mounou Koffi donne une seconde vie à de vieux téléphones portables au rebut en les recyclant dans des peintures colorées.
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Le président nigérian Muhammadu Buhari a "fermement condamné" vendredi la lapidation à mort d'une étudiante chrétienne dans le nord-ouest du Nigeria, accusée de blasphème contre le prophète Mahomet, au lendemain d'appels au calme de chefs religieux.La lapidation à mort de l'étudiante a eu lieu dans l'Etat de Sokoto où la charia est en vigueur parallèlement au droit commun, comme dans d'autres Etats du nord musulman conservateur du Nigeria.Des dizaines d'étudiants de l'école Shehu Shagari ont lapidé jeudi l'étudiante Deborah Samuel puis brûlé son corps après avoir lu un commentaire qu'elle avait posté sur les réseaux sociaux, qu'ils ont considéré comme offensant à l'égard du prophète Mahomet.Vendredi, le président Muhammadu Buhari a "fermement condamné" ces violences "préoccupantes", appelant la population à respecter la loi.
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