Le premier ministre néo-zélandais, Christopher Luxon, a présenté, mardi 12 novembre, des excuses au nom des gouvernements successifs ayant fermé les yeux sur les violences subies par quelque 200 000 Néo-Zélandais en position de vulnérabilité à partir des années 1950.
Le premier ministre néo-zélandais Christopher Luxon présente des excuses « officielles et sans réserve » au Parlement pour les abus, tortures et négligences généralisés dont ont été victimes des centaines de milliers d’enfants et d’adultes vulnérables, à Wellington (Nouvelle-Zélande), le mardi 12 novembre 2024. Robert Kitchin / AP
Le premier ministre néo-zélandais, Christopher Luxon, a présenté, mardi 12 novembre, des excuses au nom des gouvernements successifs ayant fermé les yeux sur les violences subies par quelque 200 000 Néo-Zélandais en position de vulnérabilité à partir des années 1950.

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